ヴァレリーの第2のレオナルド論『覚書と余談』をめぐって
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概要
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Dans son deuxième essai sur Léonard de Vinci, Valéry évoque d’abord la situation où il a ecrit son Introduction it fa méthode de Léonard de Vinci, et ensuite il développe ses pensées sur la consience. Même s’il écrit que le texte de l’ Introduction «on ne songerait même pas à l’ écrire», ainsi que le moi ne peut pas absolument se perdre, c’est impossible pour lui de le nier totalement. En effet son jugement sur son premier essai est beaucoup moins négatif qu’on ne le pense au premier regard. II finit par avouer: «J’osai me considerer so us le nom de Léonard et utiliser rna personne». Ce moyen était son «seul bien positif». Ce qui unit le Valery de 1895 et celui de 1919, c’est sa consience qui exisite toujours au centre de lui-même. Ce qui distingue cette Note et digression de l’ Introduction, c’est la maturité du style de son deuxieme essai, le contenu étant presque pareil dans les deux cas. Mais, cette fois, Valéry est arrivé à ne pas employer les mots comme «infini» ou «universel» qui sont des «attributs convenables au néant», et cela l’aide beaucoup à construire plus solidement son architecture litteraire. En plus nous pouvons dire que avec cet essai il a établi son propre style de prose, une sorte de variation. Comme il ajoute à ces deux essais son troisième essai intitule Léonard et les philosophes et bien des notes marginales, il va, par example, enrichir de nouvelles histoires La soirée avec Monsieur Teste, et il écrira d’autres séries sur Descartes, Degas, etc. Cette œuvre s’est révélée très importante, parce que c’est son premier essai riche et mur, publié après environ 20 ans de silence littéraire, et que avec cet essai Valéry commence à écrire une sorte de variaton sur ses thèmes favorits. En ce sens Note et digression marque le point d’un nouveau départ du Valéry écrivain.
- 信州大学教養部の論文
- 1990-03-15